La dernière étude du Syndicat National de la Publicité TV indique que 58 % des individus préfèrent la pub TV. Tandis qu’une étude de chercheurs franco-australiens révèle le surprenant pouvoir d’influence et de mémorisation de la pub à la télévision.
S’il y a bien une chose qui n’en finit plus de fasciner les acteurs des agences médias, c’est la manière dont les individus regardent, décryptent, s’agacent ou s’enthousiasment devant leur poste de télévision… et devant les « images » publicitaires qui y sont diffusées. Au point de convoquer de plus en plus souvent les neurosciences pour mieux capter le faisceau d’émotions qui anime le téléspectateur.
C’est dans ce cadre que le cabinet Harris Interactive a réalisé pour le Syndicat National de la Publicité Télévisée (SNPTV), une étude intitulée « Effet de contexte et impact sur l’efficacité publicitaire » associant observation ethnographique et utilisation des neurosciences, grâce – notamment – à la pose d’un capteur mesurant l’intensité et la nature des émotions sur le doigt des personnes ayant accepté l’expérience. Premier enseignement, le poste de télévision occupe une place centrale au sein des foyers . 93 % des Français la regardent au moins une fois par semaine sur leur poste, 46 % en replay… tandis qu’ils ne sont, selon Harris Interactive, que 63 % à consulter leur page Facebook et 52 % à se détendre devant YouTube. Lire la suite dans Les Echos